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Le ministre de l'Économie de la connaissance, des Start-up et des microentreprises, représente le président de la République à cet évènement international de premier plan qui se tient dans la ville de Yokohama au Japon, depuis hier et jusqu' au 22 août 2025. L'objectif étant de renforcer la coopération entre les pays africains et les partenaires internationaux, et à poursuivre la promotion du développement durable en Afrique à travers des partenariats stratégiques dans les domaines de l'économie, de l'innovation et de l'investissement. Cette rencontre de haut niveau est organisée conjointement par l'Union africaine, le Japon, le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) et la Banque mondiale, avec la participation de représentants de 55 pays, aux côtés des autorités japonaises et des organisations internationales, ont indiqué les services du département ministériel de Noureddine Ouadah. Quel est son but? Le sommet ambitionne de consolider la coopération entre les différentes parties prenantes et d'explorer de nouvelles perspectives pour atteindre les objectifs de l'Agenda 2063 de l'Union africaine et de l'Agenda 2030 des Nations unies pour le développement durable, en particulier autour des trois piliers essentiels de la TICAD: économie, société, paix et stabilité, indique la même source. C'est donc à un forum international, de plus, d'envergure internationale que l'Algérie participe. Elle aura ainsi à coeur de traduire son engagement constant à soutenir le processus de développement en Afrique à travers le renforcement de partenariats stratégiques avec le pays hôte, le Japon, et d'autres partenaires internationaux. Ce qui a été le cas lors de sa participation au Congrès mondial sur l'entrepreneuriat (GEC 2025), qui s'est tenu du 2 au 5 juin dernier dans l'Etat de l'Indiana (Etats-Unis d'Amérique), en décrochant de surcroît la première place mondiale en tant que meilleur pays catalyseur de politiques favorables à l'environnement entrepreneurial. Le ministre de l'Économie de la connaissance, des Start-up et des Microentreprises, avait souligné à cette occasion le rôle pionnier de l'Algérie dans la promotion du climat d'innovation dans le continent africain. Noureddine Ouadah avait mis en relief la dynamique accélérée de l'écosystème africain des start-up, ainsi que le rôle de premier plan de l'Algérie en tant que catalyseur de cette croissance, notamment à travers le lancement de la Conférence africaine des start-up depuis 2022, qui est désormais une plate-forme stratégique à même de renforcer la synergie des politiques africaines en matière de promotion du développement technologique et économique. À ce titre, il faut rappeler que l'Algérie a abrité la seconde édition de la Conférence africaine des start-up (African Start-up Conference), en décembre 2023 et la 3e édition de cet évènement, qui n'a pas son égal sur le continent, du 5 au 7 décembre 2024. Ce rendez-vous continental incarnait la vision du président de la République d'ériger l'Algérie en pôle continental des technologies et des start-up et d'établir de nouvelles bases de coopération économique interafricaine. Les résultats réalisés, ces dernières années, par le secteur de l'économie de la connaissance et des start-up en Algérie, à travers la création d'un écosystème national catalyseur de l'initiative et de l'innovation, ayant abouti à la réalisation d'acquis qualitatifs en termes de création de start-up qui ont permis à l'Algérie d'occuper la place de leader au niveau continental, avaient été, à cet effet, mis en exergue et salués par le chef de l'État. Une carte de visite que Noureddine Ouadah mettra dans la balance lorsqu'il rencontrera les acteurs de l'écosystème japonais des start-up afin d'explorer de nouvelles opportunités de partenariat permettant l'échange d'expertise et le développement de projets technologiques entre les deux pays.